Partie 1

Bienvenue, Welcome, Annii.

Je vous remercie toutes et tous d’être venus ici aujourd’hui pour écouter le troisième discours officiel sur l’état de la Ville que je prononce à titre de maire.

Je tiens à remercier Tracy Nutt, présidente de la Chambre de commerce du Grand Sudbury, et Debbi Nicholson, sa présidente-directrice générale, ainsi que toute son équipe de nous accueillir tous et toutes ici à l’hôtel Radisson.

Je tiens aussi à remercier les commanditaires de l’activité d’aujourd’hui, notamment les sociétés OLG, CN, Eastlink, Hard-Line Solutions et Plan A Health Care Staffing Solutions.

Enfin, je remercie le chef Alessandro Apolloni pour le merveilleux repas d’aujourd’hui.

À présent, je veux reconnaître mes collègues au sein du Conseil municipal qui sont présents et, pour ce faire, je leur demande de bien vouloir se lever.

Je ne suis qu’une des treize voix au sein du Conseil et je m'estime bien chanceux d’être en mesure de travailler avec un groupe si progressif qu’ensemble, nous avons pu accomplir tant de choses jusqu’à présent.

En outre, je tiens aussi à reconnaître tous les membres du personnel de la Ville qui sont présents et je leur demande aussi de se lever.

Nous avons une équipe si remarquable, non seulement à l’hôtel de ville, mais aussi dans tous les dépôts et les garages, les postes et les stations, les arénas, les usines de traitement de l’eau et des eaux usées, ainsi que dans des immeubles dans tous les coins de notre Ville.

Je suis heureux d’examiner certaines de nos réalisations communes tout au long de mon allocution cet après-midi.

Enfin, je tiens à remercier Lori, ma femme, de m’accompagner aujourd’hui à l’occasion de cette journée spéciale. Lori, tu es une personne très patiente et tu m’appuies pour répondre aux exigences de cet emploi. Merci beaucoup d’être à mes côtés.

Avant de continuer, je tiens à reconnaître que nous sommes rassemblés sur le territoire traditionnel du traité Robinson-Huron. Les Atikameksheng Anishnawbe partagent ces terres avec nous.

En tant que Ville qui a des liens historiques si solides avec nos peuples autochtones et leur culture, nous devons toujours nous acquitter d’une responsabilité envers la terre où nous vivons.

Alors que je me présente devant vous toutes et tous aujourd’hui, je trouve incroyable qu’il s’agisse déjà de mon troisième discours sur l’état de la Ville.

Entre les innombrables activités communautaires, réunions du Conseil municipal et annonces de financement, ainsi que toutes les conversations habituelles avec des citoyens du Grand Sudbury, je n’ai pas vu le temps passer. Mais, cela en a tant valu la peine.

Aussi grandes ou petites soient-elles, ces expériences m’ont confirmé que j’avais fait le bon choix en me portant candidat à la mairie.

En tant que communauté, nous pouvons être fiers de tant de choses et nous pouvons en espérer tant d’autres.

Et c’est le sujet de mon allocution d’aujourd’hui.

Lorsqu’il m’a élu, le public a indiqué très clairement qu’il voulait qu’à l’hôtel de ville, on fasse preuve d’ouverture, de reddition de comptes et de transparence, et qu’on y adopte un nouveau ton.

Les électeurs voulaient aussi qu’on augmente les fonds prévus pour les routes et les conduites, ils voulaient voire progresser les projets dans tous les coins de la Ville et ils voulaient que l’argent soit dépensé dans l’intérêt du public.

Rendu au troisième discours sur l’état de la Ville, je peux affirmer avec assurance que, autant que nous le puissions, nous répondons aux attentes du public.

Faisons un retour en arrière : pour ma première année en poste, j’avais promis d’éviter d’augmenter l’impôt foncier, c’est-à-dire zéro pour cent, pour diriger le point de mire du personnel vers les priorités en matière de services et de fonctionnement, la détermination des économies possibles et l’optimisation des ressources.

Les deuxième, troisième et quatrième années ont porté et porteront sur la réalisation de ces économies et sur leur réinvestissement.

Le message que j’entends surtout de la part du public continue à être le besoin de foncer. Certaines personnes croient que nous devons diminuer nos efforts. Mais, ce que nous devons réellement faire, c’est redoubler d’effort.

Le Grand Sudbury doit aller de l’avant. Pour ce faire, nous, en tant que ville, devons investir en nous et croître pour que nous puissions attirer des investissements qui créent des emplois, attirer aussi de nouvelles personnes pour vivre dans notre communauté et raffiner et continuer à améliorer les services aux personnes qui y vivent déjà.

Nous construisons notre ville – et, avec les bonnes considérations en matière de planification et de finances, nous serons organisés pour réussir pour être en mesure d’aller de l’avant quant à un certain nombre de grands projets visionnaires et abordables et d’investissements dans l’infrastructure.

Nous voulons que cette ville s’améliore davantage. Je veux que cette ville s’améliore davantage.

Ce que nous avons accompli en tant que conseil municipal jusqu’à présent est remarquable. Nous avons mis en place un plan stratégique, qui indique la voie à suivre aux membres du personnel. Nous avons examiné attentivement nos biens et nous avons établi un ordre de priorité pour les réparer en tenant compte de ce qui a un sens pour la communauté et ce qui est raisonnable. Nous avons mis en place un plan financier que la Ville doit suivre, de sorte que la voie à suivre soit évidente quant à la façon dont nous dépensons l’argent que vous nous avez confié.

Nous avons aussi travaillé extrêmement dur au sein de mon bureau pour discuter les gouvernements provincial et fédéral pour leur dire de quel genre d’investissements nous avons besoin en tant que communauté. Et, ensemble, c’est ce que nous avons fait.

Je comprends que le changement n’est pas toujours facile, mais le changement, c’est aussi une occasion de vous démontrer, public et électeurs, que vos impôts sont dépensés de façon responsable, avec sagesse et dans votre intérêt à l’avenir.

Je vais vous parler un peu plus de la façon dont nos projets se sont réalisés un peu plus tard, mais je veux d’abord parler de collaboration et de communication.

Nous voulons ce qu’il y a de mieux pour toute notre communauté, peu importe le quartier où nous habitons, et la collaboration nous fera progresser.

À présent, passons au fonctionnement de la Ville.

Je veux vous parler aujourd’hui des communications de la Ville, d’investissements sans précédent dans notre infrastructure, du transport en commun, des loisirs et des services sociaux, de notre travail en matière de développement économique et enfin de notre démarche en matière de grands projets.

En tant qu’organisation, nous apprenons et nous nous améliorons constamment pour répondre aux demandes uniques en leur genre de notre région et des personnes qui y vivent.

Nous écoutons les entreprises et nous prisons la collaboration.

La collaboration, c’est quelque chose de très utile et quelque chose dont nous apprenons plus chaque jour. Mon bureau établit constamment de nouvelles relations avec chacune ou chacun d’entre vous et l’amélioration des communications, c’est quelque chose que j’ai préconisé à titre de maire et c’est un domaine où je vous assure que nous continuerons à travailler pour faire progresser notre ville.

À cette fin, j’ai le plaisir de vous dire qu’en fin de semaine, le site grandsudbury.ca a été lancé à nouveau, et je dois féliciter les membres du personnel pour les innombrables heures qu’ils ont investies dans ce nouveau site amélioré.

Il est d’usage plus facile et je vous encourage à y jeter un coup d’œil.

Le 31 mai, la Ville a aussi publié le premier rapport annuel à la communauté intitulé Un grand ensemble en 2016. Vous pouvez le consulter sur le site Web de la Ville et je vous encourage à le faire.

Il y a un nouveau ton au sein de l’hôtel de ville et c’est un exemple de la façon d’atteindre notre but d’encourager une meilleure relation avec les habitants de la ville et de vous fournir plus de renseignements à toutes et tous.

Passons maintenant à nos investissements sans précédent dans l’infrastructure pendant mon mandat à titre de maire.

Lors du discours sur l’état de la Ville, l’an dernier, j’étais très content de parler de certains importants projets d’infrastructure dont le financement avait été approuvé et, cette année, je suis encore plus content de voir que les travaux ont commencé.